Mercredi 13 fév. à 13h30, Salle George Guillot, Résidence Lebon, Médiation au numérique par le théâtre.
Après avoir réalisée des résidences d’écriture scénique suivant le Module Innovant Pédagogique (MIP) CyberOmbre en octobre avec à l’Université de Clermont-Auvergne et en octobre 2023, nous sommes invités à présenter une seconde fois la performance « La Question de Co, La Question de In, élaboré avec par les étudiants de Licence ADS. Suite à cette représentation au cours d’une table ronde animée par Yassaman KHAJEHI, avec les étudiants-acteurs, nous discuterons la méthodologie d’analyse inductive qui a été mise au point à cette étape.
Organisateurs et accompagnement : Stéphanie Urdician (MCF), Yassaman Khajehi (MCF).
Mise en scène : Fardin MortazaviAssistance : Daphnélia Mortazavi
Mise en scène : Fardin Mortazavi
Vous trouvez ci-après le programme complet de ces journées de Recherche & Création
Mercredi 8 fév. à 9h30, Salle George Guillot, Résidence Lebon, Médiation au numérique par le théâtre.
Après avoir réalisée des résidences d’écriture scénique suivant le Module Innovant Pédagogique (MIP) CyberOmbre en octobre avec à l’Université de Clermont-Auvergne et en décembre 2022 à l’Université de Poitiers avec les étudiants en Master ADS, nous sommes invités à présenter une seconde fois la performance « Papillon de Nuit » élaborée par les étudiants de Licence ADS. Suite à cette représentation au cours d’une table ronde animée par Yassaman KHAJEHI, avec les étudiants-acteurs, nous discuterons la méthodologie d’analyse inductive qui a été mise au point à cette étape.
Organisateurs et accompagnement : Stéphanie Urdician (MCF), Yassaman Khajehi (MCF), Michel Durot et toute l’équipe du SUC
Collaborations artistiques : Christian Rémer et Daphnélia Mortazavi
Mise en scène : Fardin Mortazavi
Vous trouvez ci-après le programme complet de ces journées de Recherche & Création
Université Poitiers Fac de lettre, Salle des Actes, Médiation au numérique
A l’issue de cette résidence organisée par l’Université de Poitiers, faculté de lettres, les étudiants en Master II d’Art du spectacle jouent une performance le 16 décembre à 14h30.
Organisation et accompagnement : Hélène Yèche (Doyenne), Thibault Fayner (MCF) et Thomas Thomas Bruckert du département Art du Spectacle
Collaborations artistiques : Christian Rémer et Daphnélia Mortazavi (Comédienne)
Salle des Actes, Fac de lettres Bat. A3, Université de Poitiers
Spectacle-Echange, Médiation au numérique
Entrée libre
Ces 2 spectacles sont organisés par le département d’Art du Spectacle et la doyenne de la fac de lettre de l’Université de Poitiers. Ces spectacles ont lieu avant la résidence organisée avec les étudiants de Master II recherche en Art du Spectacle qui, encadré par Fardin Mortazavi, vont produire une performance sur notre problématique majeur de société : « Saisir ce qui nous saisit », le numérique ou plutôt les réseaux socionumérique (RSN). Cette résidence aboutira à la réalisation d’une performance qui aura lieu au même endroit le vendredi 16 décembre à 14h30 dans la salle des actes (entrée libre).
“Ce spectacle met en vis-à-vis et en tension deux réalités de nos vies : une réalité physique, lente, matérielle, bruyante, incertaine et complexe et une réalité numérique rapide, immatérielle, silencieuse, affirmée et synthétique.”
Mise en scène : Christian Rémer
Jeu : Daphnélia Mortazavi et Fardin Mortazavi
Crédit photo: Marika Boutou Espace Mendès France
On dirait que kékchose se passe, ..
– Ce n’est pas un moulin, mon fils, …
– Qu’est-ce que c’est, alors ?…
– Un géant. …
– Un géant ?
Il mange à ma table, choisit, suggère et conseille mes achats, mesure mon pouls quand je cours, mémorise, fait évoluer mon travail tout en m’évaluant, me transporte partout, trouve et retrouve mes amis, satisfait certains de mes désirs et en produit des nouveaux. Il s’invite dans mon lit jusqu’à envoyer une vibration pour me signifier que je rêve.
Ce spectacle met en vis-à-vis et en tension deux réalités de nos vies : une réalité physique, lente, matérielle, bruyante, incertaine et complexe et une réalité numérique rapide, immatérielle, silencieuse, affirmée et synthétique.
Dans ce livre édité le 30 juillet 2022, Colette Aguerre et Fardin Mortazavi ont co-écrit le chapitre « En quoi est-ce si primordial de préserver et de cultiver sa capacité d’émerveillement ? », , éd. Complicités Universitaires (coll. Psychologie et Vie Quotidienne). (Ici)
Ce chapitre d’ouvrage vise à mieux cerner en quoi consiste l’émerveillement, ce mystérieux objet d’étude et de désir dénommé « awe » (prononcez « Ah ouais ! ») dans la littérature scientifique anglo-saxonne. Après avoir cerné quelques conditions qui président à son émergence, nous passerons en revue quelques bienfaits de l’émerveillement (au niveau individuel et sociétal) et dénonceront certaines écueils possibles (crainte, figement, asservissement, etc.). Nous conclurons ce chapitre en élargissant notre regard sur la question de l’émerveillement, en vue de le réhabiliter, via le prisme de considérations évolutionnistes et artistiques.
A l’issue de cette résidence organisée par le SUC de l’Université Clermont-Auvergne (Ici), les étudiants d’Art du spectacle jouent une performance le samedi à 15h00. Ce groupe rapporte ses recherches aux journées d’études sur la méthodologie en R&C en février 2023.
Organisation et accompagnement : Stéphanie Urdician (MCF), Yassaman Khajehi (MCF) e Michel Durot (régisseur) et toute l’équipe du SUC
Collaboration artistique : Christian Rémer et Daphnélia Mortazavi (Comédienne)
Ces 2 spectacles organisés par le SUC d’Université Clermont-Auvergne (Ici) au cours de la résidence avec les étudiants L3 d’art du Spectacle (voir ci-haut)
“Ce spectacle met en vis-à-vis et en tension deux réalités de nos vies : une réalité physique, lente, matérielle, bruyante, incertaine et complexe et une réalité numérique rapide, immatérielle, silencieuse, affirmée et synthétique.”
Mise en scène : Christian Rémer
Jeu : Daphnélia Mortazavi et Fardin Mortazavi
Crédit photo: Marika Boutou Espace Mendès France
On dirait que kékchose se passe, ..
– Ce n’est pas un moulin, mon fils, …
– Qu’est-ce que c’est, alors ?…
– Un géant. …
– Un géant ?
Il mange à ma table, choisit, suggère et conseille mes achats, mesure mon pouls quand je cours, mémorise, fait évoluer mon travail tout en m’évaluant, me transporte partout, trouve et retrouve mes amis, satisfait certains de mes désirs et en produit des nouveaux. Il s’invite dans mon lit jusqu’à envoyer une vibration pour me signifier que je rêve.
Ce spectacle met en vis-à-vis et en tension deux réalités de nos vies : une réalité physique, lente, matérielle, bruyante, incertaine et complexe et une réalité numérique rapide, immatérielle, silencieuse, affirmée et synthétique.
« Il mange à ma table, conseille mes achats, mesure mon pouls quand je cours, mémorise mes données, garde les enfants sans se faire payer, facilite et évalue mon travail, me transporte partout, trouve et suggère des amis, satisfait certains de mes désirs et en invente de nouveaux. Il s’invite dans mon lit et m’envoie une vibration pour me signifier que je rêve. »
Qui est-ce ?
Les écrans sont partout, nous aident et nous font peur à la fois. Retrouvons-nous autour d’une table pour échanger nos expériences de vie et reprendre la main.
Vous êtes invités à venir découvrir la sortie de résidence du spectacle-échange « On dirait que kékchose se passe, … ». Durée 40 mn suivi d’un échange. (cliquez ici).
Il mange à ma table, choisit, suggère et conseille mes achats, mesure mon pouls quand je cours, mémorise, fait évoluer mon travail tout en m’évaluant, me transporte partout, trouve et retrouve mes amis, satisfait certains de mes désirs et en produit des nouveaux. Il s’invite dans mon lit jusqu’à envoyer une vibration pour me signifier que je rêve.
Ce spectacle met en vis-à-vis et en tension deux réalités de nos vies : une réalité physique, lente, matérielle, bruyante, incertaine et complexe et une réalité numérique rapide, immatérielle, silencieuse, affirmée et synthétique.
En accord avec l’éditeur, vous trouverez ci-dessous un lien exclusif de tiré à part électronique. Ce lien donne un accès gratuit au texte intégral de votre article, avec ou sans compte Cairn, jusqu’au 18/03/2022 inclus.
Contre l’hégémonie de l’innovation, les artistes étudiés dans cet ouvrage invitent à « mordre la machine », ré-ouvrir les boîtes noires, reprendre la main, transformer l’imaginaire technique. Leurs différentes approches – sous-veillance, médias tactiques, design spéculatif, statactivisme, archéologie des médias – explorent et expérimentent le hardware des machines, les coulisses de l’intelligence artificielle, les algorithmes de surveillance, la reconnaissance faciale, la visualisation des données. Ces actes de désobéissance numérique prennent le contre-pied de la gouvernementalité et souveraineté des plateformes (GAFAM). Ils réinscrivent l’histoire du code, du cryptage et du calcul dans une critique de la culture contemporaine et ré-ouvrent des voies d’émancipation citoyenne. « Faire œuvre de hacking » recouvre ici des enjeux sociaux et politiques autant qu’esthétiques : réflexivité (critique), autonomie, indépendance, réappropriation des cultures matérielles (contre l’obsolescence et contre l’opacité des systèmes). La question du détournement y est centrale, l’humour et la parodie y occupent une place de choix. En proposant de « penser par l’art », l’ouvrage aborde différentes figures de cette désobéissance numérique à travers les œuvres de plusieurs artistes internationaux : Trevor Paglen (USA), Paolo Cirio (Italie, USA), Julien Prévieux, Benjamin Gaulon, Christophe Bruno, Samuel Bianchini (France), Bill Vorn (Canada), Disnovation.org (France, Pologne, Russie), HeHe (France, Allemagne, Royaume-Uni).